Les aide-mémoires pour quoi faire ? Dans tous les cas où notre attention est sollicitée : période de concours et d'examens, activité professionnelle intense, fatigue ou surmenage, et également chez les personnes âgées en prévention des troubles de la mémoire et de la concentration. Mais soyons clair : ce ne sont pas des pilules miracle pour obtenir une mémoire d'éléphant. Ce sont des compléments alimentaires qui apportent à notre matière grise certains micro-nutriments dont elle raffole : vitamines du groupe B, vitamines antioxydantes, acides gras essentiels...
Le cerveau consomme environ 20 % de l'oxygène et des micronutriments de l'alimentation.
Les vitamines B sont essentielles dans la synthèse des neurotransmetteurs. Les vitamines C et E antioxydantes protègent les membranes des cellules du cerveau, les neurones.
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Du glucose pour les cellules
S'il y a un déficit en micronutriments, il se produit une baisse de l'attention, de la concentration, de la perception, et donc de la mémoire. Même si l'on recommande de manger du foie, des céréales, de la levure de bière (les plus riches en vitamines B), nous ne sommes pas sûrs que ces aliments ont conservé toute leur teneur en vitamines. C'est là qu'interviennent les compléments alimentaires.
Certes, mais ces aide-mémoires n'apportent qu'une partie des micro-nutriments nécessaires au cerveau. Pour fonctionner à plein régime, cet organe gourmand a aussi besoin de gras et de sucres. En particulier d'acides gras polyinsaturés (poissons, fruits de mer), qui constituent les membranes cellulaires et permettent la transmission de l'information entre les neurones. Le glucose contenu dans tous les sucres, rapides et lents nourrit les cellules. On ne sait pas, faute d'étude scientifique sur le sujet, si le cerveau va se servir réellement de ces apports supplémentaires. Ou s'ils risquent de finir, inutilisés, dans nos urines...
Enfin, cet apport doit s'accompagner d'une bonne hygiène de vie (alimentation variée, sport, relaxation...). Ce n'est pas l'âge qui est responsable de nos pertes de mémoire, à moins que survienne une pathologie grave (Alzheimer, Parkinson), mais bien sa non-utilisation.
Exactement comme pour notre mobilité : moins on bouge, plus on rouille nos articulations et on atrophie nos muscles. La mémoire, ça se cultive !
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La nourriture « aides mémoires »
Lécithine de soja
Extraite des graines de soja (sans OGM) et associée aux vitamines du groupe B, elle stimule les capacités intellectuelles.
Œuf
Il donne des ovophospholipides riches en acides gras polyinsaturés pour la mémoire et la concentration. Tout ce qui est gras est bon pour le cerveau.
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Noix
C’est un élément intéressant car elle concentre un cocktail cérébral très complet : sélénium, magnésium, vitamine B1, protéines riches en acides aminés, potassium, phosphore, vitamine E, acides gras essentiels... Stimulateurs de la Tonicité qu’il faut associer à d'autres ingrédients naturels riches en vitamines C et E pour un maximum d’effet positif.
Laitance de Poisson
Cet ingrédient n'est autre que la semence des poissons, riche en phosphore. Certaines marques de compléments alimentaires l’associent au lithothame, une algue riche en calcium. D’autres proposent un mélange juteux à base de camu-camu et de jus d'argousier, vitamines B1, B2, B6 et C, ainsi qu'un soupçon de phosphore et de magnésium.
Le ginseng
Cette racine énergétique augmente la capacité de concentration et de mémorisation, favorise la fabrication d'acide ribonucléique, qui intervient dans les échanges intercellulaires.
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